AUDEUX
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A Voir :
- 1 Bâtiment où se tenait l'ancienne justice de paix
- 1 École
- 1 Église et 1 Cure
- 1 Lavoir / Abreuvoir et 1 Grotte
- Lieu du comice agricole
- Abreuvoir et pompe à eau route principale
- L'ancienne Poste Télégraphe
- 1 Auberge
Le village d'Audeux est situé en Franche-Comté à 15 km de Besançon.
Le village est attesté depuis le 12è siècle.
Son ancien château a disparu faisant place à une construction qui date de la fin du 18è siècle.
Canton d’Audeux depuis 1796, il le sera jusqu'en 2015. C'est l'un des cantons de France qui comporte le plus grand nombre de communes (40) bien qu'en superficie, il soit l'un des plus petits chefs-lieux de canton. Le village fait partie de la Communauté d’Agglomération du Grand Besançon.
Altitudes : minimale 221m ; place de l'école 257m ; maximale 285m
Les habitants s’appellent les Audelais et Audelaises.
« LES AUDEUX » sont des rivières ou canaux d'irrigation. Situé non loin de l'Ognon, Audeux est traversé par un des affluents, le ruisseau de Noironte (il fait 10 km de long, il prend sa source sur la commune de Mazerolles-Le-Salin et se jette dans le Recologne. Les caprices du ruisseau sont impressionnants, l’eau monte très vite et très haut).
Nombre d'habitants : 100 entre 1925/1950 - 149 en 1968 - 314 en 1982 - 435 en 2014.
Nombre de lotissements : bientôt 3 (1er « l'Orée du Bois » 1978, 2ème « Le Val des Hauts Prés » 2006 et 3ème « Le Prés Vallecin » 2015).
Le bâtiment de l'ancienne Mairie comprenait après l'établissement du projet de l'Architecte PAINCHAUX de Besançon en 1839 Justice de paix, Mairie, École et Logement de l'instituteur. La Mairie a été déplacée en 2012 pour laisser l'ancien bâtiment à la disposition de l'école (salle multimédias), de la bibliothèque et aux 2 logements locatifs communaux.
Les Maires du siècle à Audeux : POINSARD Henri 1912-1915, Me RAGUIN après sa démission de 1915-1917, BINETRUY Valentin 1919-1925, PASCAL Basile 1925-1929, BAUD Louis 1935-1947, MULIN Marc 1953-1977, DEVILLERS Claude 1983, BINETRUY Hugues de 1984-2014 et Françoise GALLIOU en 2014.
Le dénombrement de 1906 indique que sur la commune il y avait : Une couturière, un sabotier, un cordonnier, un fabriquant d'huile, un menuisier, un taupier, des ouvriers de carrières (la carrière était située rue des vignes au-dessus de la fontaine, à l'emplacement de chez M. FEVRE et de Mme Frédérique BERTRAND).
Une auberge épicerie : tenue par M. Jean-François TOURNERET et son épouse (1900) puis par M. Jean-Adolphe FOREL (1905) puis par M. Charles GANNARD en 1933 : Café-Épicerie (débit de tabacs autorisé en 1934) et installation à cette même date d'une pompe à essence manuelle (c'était un vrai spectacle pour les enfants que de regarder le niveau du liquide qui montait et descendait dans les globes) et il y avait un jeu de quilles dehors. Au début des années 80, tenue par M. VIEILLE : «L'Orange bleue » faisait Bar-Café-Restaurant-Discothèque jusqu'en 1988. Puis divers propriétaires mais il resta un café jusqu'en 1999.
Un café : entre les 2 guerres (1918-1939) (anciennement chez LOUAAZIZI) tenu par M. Pierre LIGIER auquel succéda Mme Marie POIGNANT (les jours de fêtes : installation du jeu de quilles le long de la route).
De nombreux cultivateurs ou fermiers en 1926 : environ 23 familles dont des familles sont encore présentes dans le village aujourd'hui (Familles BAUD, TOURNERET, MARLE, ROY, BINETRUY, LANDRY et RICHARD).
L’Église : L'abbé GODIN, une figure marquante du village, qui est né à Audeux le 13 Avril 1906. Il fut aumônier de la JOC (Jeunesse Ouvrière Chrétienne) de Paris-Nord et fondateur de la mission de Paris en 1942. Il s’éteint à Paris le 17 janvier 1944.
Personne ne sait exactement depuis quand il y a une église à Audeux. La date de 1752 est gravée sur la clef de voûte du porche, mais il y avait une église avant cela puisqu'on en mentionne déjà une en 1141 (dans le temporel du chapitre de la cathédrale St Jean de Besançon). Autrefois elle servait aussi aux habitants de Noironte qui n'en avaient pas. Une crypte existe sous le sol de la nef (on y enterrait les gens importants, le curé et sa famille).
Le saint-patron d'Audeux est Saint-Martin fêté le 11 Novembre. Une année sur deux tantôt à Audeux, tantôt à Noironte, la fête patronale se déroulait le 1er dimanche suivant le 11 novembre car Saint-Martin est aussi le grand patron de Noironte. Un bal monté s'installait en face l'auberge, il restait le dimanche, le lundi (qui était la journée du maire pour les écoles) et le dimanche suivant avec en plus le tourniquet où l'on pouvait gagner une bricole, le marchand de nougats de Montélimar, le vendeur de barbe à papa. On montait le traditionnel jeu de quilles parallèle à la route entre chez anciennement Famille Louaazizi et actuellement la famille Alsayed vu qu'il y avait un café «chez Poignant» à la place de chez Louaazizi.
La cloche sert de tocsin en cas d'incendie pour alerter les communes voisines (car Audeux n'a pas de pompe à incendie). Cette cloche sonne un fa dièse. Généralement ce sont les pompiers de Noironte qui interviennent.
Le nombre de curés à Audeux fut assez réduit car certains comme l'Abbé SANDOZ veillèrent sur la paroisse pendant plusieurs décennies : 1948-1985 (37 ans).
La cure : Le bâtiment existe depuis au moins 1688. Elle appartient à la commune d'Audeux depuis 1835 qui la loue à des particuliers. En 1997 elle est réhabilitée en 6 appartements locatifs.
La justice de paix : La justice de paix a existé à Audeux depuis 1796 jusqu'en 1958, date à laquelle les justices de paix furent remplacées par des tribunaux d'instance. L'importance des affaires traitées a été en diminuant avec le temps. Toutes les causes importantes se voyant transférées vers les tribunaux de Besançon.
Un greffier de justice : M. Jules Émile GODIN (depuis 1906). Le juge PAULMIER fut le dernier juge de paix du canton d'Audeux, son suppléant était M. Robert BINETRUY qui était chargé des affaires de simple police.
L'audience publique se tenait tous les jeudis, dans la salle de la justice de paix qui était aussi salle du conseil municipal et dont presque tout le monde se souvient. Le juge officiait sur une estrade bordée d'une balustrade en bois. Il y avait un petit poêle à bois dans la salle et c'est le juge qui amenait son bois pour se chauffer mais la commune lui reversait ensuite une indemnité de chauffage (5 F par an avant la guerre de 14).
C'est dans cette salle que se tenait également le conseil de révision qui avait lieu tous les ans au printemps et ceci jusqu'au début des années 60. Le préfet venait souvent en personne, ainsi que les maires du canton, deux officiers supérieurs et un médecin. Tous les conscrits du canton passaient la visite médicale pour savoir s'ils étaient « bons pour le service militaire ».
Les auxiliaires de la justice d’Audeux : L'Huissier, La Gendarmerie de Recologne (brigade à cheval), Le garde-champêtre avec son tambour annonçait les nouvelles et les décisions municipales où autres à la population d'Audeux et il faisait office de garde-chasse et le garde-forestier qui gère les coupes affouagères et surveille les délits concernant la forêt (il est aussi garde-chasse).
L'office notarial : Il y a un notaire à Audeux depuis 1813 : Me Jean BLANC et le dernier Me POLLIOT officia après la deuxième guerre mondiale jusqu'en 1951 et son clerc de notaire était M. Michel TOURNERET.
L'école publique : La classe avait lieu de 8h à 11h30 et de 13h30 à 16h30. L'année scolaire commençait le 1er octobre et se terminait le 14 juillet. Avant-guerre les enfants ne poursuivaient que très rarement leurs études au-delà du certificat d'études. Cet examen que l'on passait vers 14 ans marquait la fin de la scolarité. En effet, dans les campagnes les enfants n'allaient pas tous à l'école, ils n'y étaient pas très assidus et leur scolarité s'arrêtait bonne heure pour aider aux récoltes ou garder leurs frères et sœurs. Le maître doit s'occuper lui-même de son ménage mais en 1917, la commune prend en charge les «soins de propretés aux écoles» avec la création d'un emploi de femme de ménage. Avant que l'électricité ne soit installée à Audeux, dans la classe seul le maître avait une petite lampe pigeon à pétrole. Tout le monde marchait en sabots même l'instituteur et cela faisait un vacarme épouvantable sur le plancher de bois de la classe. Tous les élèves portaient une blouse ou un sarrau et cette habitude persista jusqu'en 1970. L'instituteur faisait l’école sur une estrade. Il donnait des coups de baguette à ceux qui faisaient des pâtés avec leur plume, car l'écriture à l'encre violette était un art et le remplissage des encriers une cérémonie. Instituteur lors du dénombrement en 1906 : M. Edmond CARDEY. Un ancien instituteur encore présent dans le village : M. Patrick RICHARD qui a exercé à Audeux pendant 33 ans de 1972 à 2005.
Le chauffage se faisait avec un poêle à bois et ce système de chauffage fut utilisé jusqu'à la rénovation du bâtiment en 1990. Jusqu'à cette date, également, l'instituteur bénéficia d'un logement de fonction dans le bâtiment de l'école. Une citerne fut installée en 1934 nécessaire pour procurer l'eau aux enfants fréquentant l'école.
L'eau : La corvée d'eau avait une grande place dans la vie quotidienne. C'était le premier travail des enfants en rentrant de l'école car il n'y avait bien sûr pas l'eau courante à Audeux mais la source de la fontaine ne tarissait pas et c'est là que tout le monde venait chercher l'eau, faire la lessive et menait boire les bêtes. Au début du siècle on faisait la lessive avec des cendres de bois qui tenait lieu de savon. Le bassin abreuvoir/lavoir de la fontaine fut construit en 1844 à l'emplacement d'un ancien bassin ruiné, sur les plans de l'ingénieur PAINCHAUX. En 1907 la commune vote pour couvrir la fontaine mais la demande de secours faite à M. Le Préfet reste sans suite. L'eau potable arrive à Audeux en 1956. Une autre source d'eau se trouvait au pied du premier lotissement près de la cabine téléphonique et il y avait là une pompe communale. Une grotte et un cours d'eau souterrain existent sur le territoire d'Audeux. Si un banc de sel y est toujours présent, la source d'eau salée a en revanche disparu.
Le comice agricole : Assemblée formée par les propriétaires et les fermiers du canton pour échanger les expériences de chacun afin d'améliorer les procédés agricoles. Cette manifestation fut créée à Audeux en 1850 et n'avait pas toujours lieu à Audeux car elle tournait dans les villages du canton. A Audeux, elle avait lieu au lieu-dit «LA FÉLIE» à l'emplacement de l'ancien lotissement. Cette manifestation ouverte au public était l'occasion de la rendre festive par différentes animations : concours de bestiaux et vente de matériels agricoles, défilés de chars décorés et aussi le traditionnel bal avec son banquet qui réunissait le député, des personnalités et les agriculteurs du canton. Le meilleur moment était quand arrivaient les discussions houleuses concernant les bouilleurs de cru car il y avait à ce moment-là une campagne antialcoolique qui demandait la suppression de ceux-ci. Tout le monde parlait en même temps, tant l'affaire était grave et par la suite une loi imposa 5 l au lieu de 10 l par bouilleurs de cru ce qui calma les esprits.
L'électricité : La première ligne électrique fut installée à Audeux en 1921 (en même temps qu’à Noironte). ANECDOTE : Il y eut au début beaucoup de problèmes car les garnements avec leurs frondes tiraient dans les tasses (les isolateurs en porcelaines) à tel point que l'EDF porta plainte et que certains enfants et leurs parents furent convoqués devant le tribunal correctionnel. Le juge avait dit «où sont les parents de ces chenapans» et cela avait été une honte terrible pour les parents en question.
Le téléphone : Il fit son apparition tout de suite après la première guerre mondiale car Audeux était chef-lieu de canton. Il y avait un poste public : il s'agissait du téléphone manuel rural. C'est à dire avec une opératrice (la receveuse des postes) à qui vous deviez demander le numéro qui vous intéressait et qui mettait les fiches dans les trous de son tableau afin de mettre les abonnés en relations. Avant la seconde guerre, il y avait 3 téléphones particuliers à Audeux : un chez le notaire, un chez M. LAVRUT, l'ingénieur des ponts et Chaussées et un au château chez M. Lucien BINETRUY.
La poste : Elle existe à Audeux depuis le 18è Siècle. En 1900 le bureau de poste était installé chez Mme ROY et avait un service télégraphique dès 1918 : dès qu'un message urgent arrivait, le receveur des postes : Mme Maria GAUME actionnait une sonnerie qui retentissait chez un préposé (M. Henri OBERON pendant la guerre et M. Roland BAUD plus tard) qui partait immédiatement livrer la missive). Ensuite le bureau de Poste s'installa dans une maison au centre du village (anciennement M. Patrick DESFORET) où il y resta jusqu'à la construction de La Poste remplacée par la Mairie actuellement (fermeture de la poste en 2011).
Télégraphe : Une tour de Chappe n° 28, carré en pierre, construite à 225 m d’altitude avec un mécanisme de 15 m existait à Audeux (entre Audeux et Placey), utilisée de 1841 à 1852 (durant 9 ans) pour la ligne télégraphique : Dijon -> Besançon. Le télégraphe Chappe est un moyen de communication visuel par sémaphore, sur des distances de plusieurs centaines de kilomètres, mis au point par M. Claude CHAPPE en 1794.
Les 1ères voitures dans le village :
Le notaire Me PASCAL fut un des premiers à avoir une voiture à Audeux. Au château aussi, il y eut des automobiles de bonne heure, et des camions pour le ramassage du lait. Le médecin de Marnay se déplaçait en voiture ainsi que l’instituteur et le curé mais il fallait aller chercher la sage-femme car elle n’avait qu’un vélo. M. DEMOLOMBE, marchand de vin à Recologne qui avait des caves vers la Rue Battant à Besançon avait une Stutbaker.
Le forgeron M. METADIEU avait en 1928 une Clément Bayard, qu’il fallait démarrer en remplissant le radiateur d’eau chaude (le succès du démarrage n’était pas garanti et il fallait souvent 2 chevaux pour remorquer la voiture en haut de la côte d’Audeux pour un nouvel essai.
M. Roger BINETRUY achète une Traction 11 légère en 1952. Moteur 4 cylindres - 1911 cm³ - Puissance 56 ch à 3.800 tr/mn - Taux de compression 6,2 - Boîte 3 vitesses (2e et 3e synchronisées) - couple conique 8x31 - Vitesse 120 km/h (11BL) et 115 km/h (11B).
M. Claude TOURNERET a une Rovin en 1953. Le bicylindre de 462 cm3 développait 13 ch. La longueur était de 3,15 m et la largeur de 1,15 m. Elle avait des freins à câbles et des roues de 270 x 90, avec une direction à crémaillère. La boîte était à quatre vitesses et la voiture atteignait 85 km/h - produite en 1200 exemplaires.
M. Antonio RAIMONDI investit dans une Simca Aronde P60 bicolore. Année de production : 1951/1963 - 1 400 000 exemplaires - Classe familiale - Propulsion : 4 rapports - Poids à vide 940 – 1090 kg.
M. Marc MULIN va chercher sa première 2 CV grise à PARIS vers 1955 et M. Maurice TOURNERET acquiert une 2 CV grise aussi en 1958. Type du moteur 2 cylindres à plat - Puissance : 12 chevaux à 3500tr/min - Boite de vitesse : 4 rapports - Puissance fiscale : 2 chevaux - Poids 495 kg - Vitesse max 80 km/h.
M. André MARLE se laisse tenter par une traction 15-6 en 1960. Voiture Familiale - Moteur : Culbutés 4 et 6 cylindres - Cylindrée : 1303 à 1867 cm³ - Puissance Maximale 32 à 77 CV - Transmission aux roues avant - Boite de vitesse : Manuelle 3 rapports - Poids à vide : 900 – 1380 kg.
M. et Mme Schwartzmann choisiront une R8 blanche. Années de production 1962/1973 (en France) et 1977 (en Espagne) - Moteur situé à l'arrière - Essence à carburateur – 956 cm³, 1 108 cm³, 1 255 cm³ et 1 289 cm³ - Poids à vide : 770 kg - 4 portes.
M. Claude DEVILLERS payera 3 400 F sa première Renault 4L. Année de production : 1961/1962 - 8 135 425 exemplaires - Energie essence : 0.6 : 23ch – 0.7/0.8 : 30 ch – 1.0/1.1 : 34 ch - Position du moteur : avant - Traction avant par 2 arbres à joint homocinétique - Boite de vitesse : 3 et 4 rapports - Poids à vide : 570 kg - Berline 5 portes.
M. Lucien BINETRUY a une Citroën B14 dans les années 1920. Tout acier - 4 cylindres 1539 cm3 - 22 ch - 80 km/h – 119 920 exemplaires.
Avant d’acheter une voiture, les hommes investissent souvent dans une moto :
MM. Marc MULIN, Henri OBERON ou André MARLE investissent dans une Terrau.
Monsieur Louis BAUD promène son épouse Geneviève dite « La Loulette » sur une moto de marque autrichienne : une 125 Puch.
QUESTIONNAIRE :
Comment s'appellent les habitants d'Audeux ? Audelais / Audelaise
Quel est le nombre d'habitants en 2014 ? 435 habitants
Quelle est l'altitude place de l'école ? 257 m
Quel jour de la semaine avait lieu l'audience publique dans la salle de la justice de paix ? jeudi
A quelle date les justices de paix furent remplacées par les tribunaux de grandes instances ? 1958
A quelle date avait lieu la rentrée scolaire ? 1er octobre
Les élèves ont porté une blouse jusqu'à quand ? 1970
Un poêle à bois en classe jusqu'en ? 1990
La fin de la scolarité était marquée généralement à quel âge ? 14 ans
De quand date l'église ? 1752
La cure existe depuis quand ? 1688
Quel est le nom de l'Abbé figure marquante du village ? Abbé Godin
Quand fut construite la fontaine ? 1844
Avant le savon avec quoi lavait-on le linge ? des cendres
Quand l'eau potable arriva-t‘elle à Audeux ? 1956
Combien y avait-il de familles de cultivateurs dans le village lors du dénombrement de 1906 ? 23
Quelle est l'origine du nom Audeux ? des rivières et canaux d’irrigation
Date de la création du comice agricole à Audeux ? 1850
Nom du lieu-dit où il avait lieu ? « La Félie »
De quand à quand l'office notarial exista à Audeux ? 1813 à 1951
A quelle date arrive à Audeux l’électricité ? 1921
A quelle date arrive à Audeux le téléphone ? après 1ère guerre mondiale
Qu'est-ce qu'un télégraphe Chappe ? moyen de communication
A quelle date fut autorisé le débit de tabac à Audeux ? 1934
Depuis quand le village d'Audeux est-il le chef-lieu de canton ? 1796
Combien ce canton comporte-t-il de communes ? 40